Projects
Voir
EURETES « Histoire du capitalisme »
Le projet EURETES “History of Capitalism” (Histoire du capitalisme) tire son origine de la collaboration entre spécialistes d'histoire économique au centre François Simiand (EHESS/Paris School of Economics - PSE), l'Institut d'histoire économique Paul Bairoch (Université de Genève), et l'institut "Figuerola" d'histoire et de sciences sociales (Université Carlos III de Madrid). Son objectif est de conduire une étude commune et multidisciplinaire d'histoire économique du développement du capitalisme, depuis une perspective internationale.

https://www.ehess.fr/fr/euretes-%E2%80%9Chistory-capitalism%E2%80%9D
Voir
Lubartworld
Le projet Lubartworld combine une approche historique transnationale et une méthodologie microhistorienne, puisque son objectif consiste à reconstruire, une par une, la totalité des trajectoires individuelles des habitants juifs de la petite ville polonaise de Lubartów du début des années 1920 aux années 1950, qu’ils aient émigré ou qu’ils soient restés sur place, qu’ils aient été exterminés ou qu’ils aient survécu à la Shoah.

https://lubartworld.cnrs.fr/
Voir
Les réserves de change et l’évolution des monnaies mondiales
Ce projet questionne la manière dont les pays ont conservé des réserves de change depuis la fin du XIXè siècle, et ses conséquences sur le système monétaire international actuel. Nous construisons une base de données originale qui propose, pour la première fois sur le long terme, une distinction entre réserves détenues comme dépôts étrangers et réserves détenues comme actifs étrangers. Nous nous intéressons ensuite aux déterminants économiques de ces deux types de réserves de change, en testant en particulier l'hypothèse que les réserves de change soient moins associées avec l'ouverture financière et un processus d'accumulation de réserves étrangères fondé sur le marché. Cette recherche a de larges conséquences sur notre compréhension de l'évolution future du système monétaire international, selon que les réserves de change soient fondées sur des choix financiers de marché, ou sur des facteurs liés aux relations économiques et politiques bilatérales.

https://fbf.berkeley.edu/publications/foreign-reserve-holdings-and-evolution-global-currencies
Voir
Groupe de discussion – Capitalisme contemporain et le projet original de l’Économie Politique
Ce groupe de discussion cible un public large : des jeunes chercheurs en sciences sociales (non seulement en économie, mais aussi en sociologie, histoire, sciences politiques, anthropologie, philosophie, etc.), ainsi que ceux en sciences naturelles qui s’intéressent à l’évolution des idées économiques et à leurs racines philosophiques. Le but n’est pas de faire une description chronologique des doctrines, ancrées dans le passé, telles qu’elles peuvent se présenter dans les manuels d’histoire de la pensée économique. Il s’agit, au contraire, de contribuer à notre compréhension du capitalisme contemporain. Pour ce faire, nous partons du principe qu’il est nécessaire d’étudier le développement des concepts économiques centraux. Nous soutenons que seule la poursuite du projet original de l’Économie Politique –qu’il faut impérativement raviver aujourd’hui– offre les clés pour comprendre les défis du présent, dont le conflit principal porte sur le pouvoir de planification des uns sur les autres, basé sur une conception hétéronomique de l’histoire.

https://history.parisschoolofeconomics.eu/evenements/groupes-de-discussion/
Voir
École thématique – Les débats de l’histoire économique
L’école thématique « Histoire et sciences sociales : les débats de l’histoire économique » est organisée, comme lors de ses précédentes éditions (2016, 2018 et 2021), sous forme d’atelier. Elle est destinée à un public de doctorant.e.s et de jeunes chercheur.se.s. Son objectif est de créer un espace permettant de discuter et d’approfondir certaines des principales approches en histoire économique. À vocation interdisciplinaire, elle se propose également d’aborder la diversité des débats actuels — et de rendre compte du profond renouvellement dans ce domaine — dans le contexte des relations entre histoire et sciences sociales.

https://www.casadevelazquez.org/fr/la-casa/calendrier-des-activites/recherche-scientifique/news/les-debats-de-lhistoire-economique/
Voir
EURHISFIRM – Des données de long terme pour l’Europe
Le projet EURHISFIRM construit une infrastructure de recherche de rang international pour lier, collecter, harmoniser et partager des données de long terme détaillées, fiables et standardisées au niveau des entreprises. Elle permettra aux chercheurs, aux dirigeants et autres parties prenantes d'analyser, de développer et d'évaluer des stratégies efficaces pour développer l'investissement et la croissance économique. Dans ce but, EURHISFIRM développe des outils innovants pour déclencher une "révolution des big data" en histoire sociale.

https://eurhisfirm.eu/
Voir
L’enquête TRA
Conçue au début des années 1980, l’enquête 3000 familles s’appuie sur la reconstitution méthodique des trajectoires et de la descendance des individus dont le nom de famille commence par les trois lettres TRA.

https://tra.site.ined.fr/fr/
Voir
Data for Financial History (DFIH)
La base DFIH collecte des donnée sur les entreprises et le prix des titres côtés à la Bourse de Paris de 1795 à 1976.

https://dfih.fr/
Voir
ANR COLECOPOL, Économie politique du colonialisme
Ce projet cherche d’abord à construire une nouvelle économie politique du colonialisme aux XIXè et XXè siècles. Elle sera basée sur l’étude du cas français avec à l’esprit les autres empires coloniaux. Notre hypothèse de recherche est que le colonialisme bénéficia à une minorité d’acteurs influents politiquement et économiquement, dans la métropole ou localement. Sa longévité et ses transformations pourraient s’expliquer par le succès et l’évolution de coalitions pro-coloniales. Le colonialisme étant un phénomène global, sa compréhension implique de considérer le « plan global » plutôt que de se focaliser sur une région colonisée particulière. Enfin, les analyses antérieures du colonialisme ont accordé trop peu d’attention à l’action des colonisés, ne serait-ce que les élites autochtones, aussi contraintes qu’aient été leurs marges de manœuvre. L’analyse combinera deux vastes bases de données couvrant la période du “second” Empire colonial français (1830-1962), sur l’administration et le développement des colonies d’une part, sur les entreprises cotées en Bourse d’autre part.

https://anr.fr/Projet-ANR-19-CE41-0006
Voir
Socface
Le projet Socface réunit archivistes, démographes, économistes, historiens et informaticiens travaillant ensemble pour mettre au point des technologies de traitement à grande échelle de vastes séries de documents historiques. Le projet mobilise la reconnaissance automatique d’écriture manuscrite pour analyser l’ensemble des listes nominatives du recensement de 1836 à 1936 (soit 20 recensements)

https://socface.site.ined.fr/fr/
Voir
WIL – World Inequality Lab
Le Laboratoire sur les Inégalités Mondiales (World Inequality Lab) a pour but de promouvoir la recherche portant sur la dynamique de la répartition des revenus et des patrimoines au niveau mondial, aussi bien entre pays et à l’intérieur des pays. Sa mission principale est de mettre à jour et d’élargir la World Inequality Database. Il a également pour rôle d’élaborer des rapports et des documents de travail relatifs aux inégalités abordant des problématiques de fond et de méthodologie.

https://inequalitylab.world/en/